Tuesday 8pm: Summary #2

Cours du Mardi 20h: Résumé #2

Mardi, nous avons d’abord vérifié le vocabulaire de la semaine dernière, puis nous avons parlé de vos bonnes résolutions et de vos projets pour 2010… Nous avons aussi corrigé l’exercice des expressions idiomatiques. 🙂

Devoirs:
1) Lire le petit texte sur la Nouvelle-Orléans (de wikipedia)
2) Raconter une anecdote à propos de quelque chose que vous avez lu dans un journal, ou dans un magazine, ou entendu à la télé ou à la radio.
3) Expliquer le nouveau vocabulaire en français

Vocabulaire

plié(e)
la moisson
les noces d’argent
éviter
une publicité
un fauteuil roulant
un bagage à main
le renversement des rôles

Pompiers

Le terme « pompier » vient de la pompe à bras utilisée auparavant pour éteindre les incendies (avant l’arrivée des pompes à vapeur, puis à moteur à explosion). Le terme « sapeur », utilisé par exemple en France dans l’expression « sapeurs-pompiers », vient du fait que le premier corps créé en France par Napoléon Ier était un corps militaire du génie(synonyme de sapeur: soldat;sens : soldat du génie)
(Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pompier)

Héritage culturel de La Nouvelle-Orléans (Wikipedia)

La ville est au cœur de la culture des Caraïbes y compris le culte du Vaudou. Beaucoup de visiteurs adoptent le slogan cadien « Laissez les bons temps rouler », notamment en flânant dans le carré français (Vieux Carré) qui est entouré par le fleuve et les rues du Rempart, Canal et Esplanade. Une des spécialités locales à déguster au Café du Monde: le café au lait avec des beignets. Le Natchez, un bateau avec roue à aubes, fait quotidiennement un tour sur le fleuve Mississippi.

Désormais deux lignes de streetcars (une sorte de tramway) avec la ligne rouge parallèlement à la rue Canal à travers le Vieux Carré et la verte le long de la rue Saint-Charles, desservent les citoyens de la Nouvelle-Orléans. Une promenade nostalgique à jamais immortalisée dans la fameuse pièce de Tennessee Williams Un tramway nommé désir .

À cause de la hauteur de la nappe phréatique, les cimetières utilisent des cryptes. Depuis longtemps, des cérémonies funèbres sont accompagnées par des musiciens de jazz. Aucune visite à La Nouvelle-Orléans n’est complète sans une excursion dans les musées extérieurs les plus anciens de la ville, ses cimetières historiques. Souvent appelé les Cités des morts, ces cimetières sont remarquables pour leurs tombeaux uniques et en surface. Lesdits tombeaux sont des monuments des dix-huitième, dix-neuvième et du début du vingtième siècle, et sont, comme les cimetières eux-mêmes, une partie remarquable de l’héritage si particulier de cette ville.

Quoique ville anglophone, « New Orleans » reste toujours La Nouvelle-Orléans dans le rythme des fêtes, les rites et l’atmosphère de son passé français. Même si sur le million d’habitants de l’agglomération en 1970, seuls 10 % (soit 100 000 personnes) avaient le français comme langue maternelle. Parmi eux, une minorité (40 000 personnes environ) était issue de vieilles familles créoles citadines du Vieux Carré; moins encore (10 500) de la communauté francophone noire (dont était originaire Sidney Bechet), et le reste (50 000 personnes) étaient des Cadiens ayant quitté leurs bayous ou la Prairie de Lafayette. Toutes ces catégories-là ont été touchées par l’acculturation anglophone intensive introduite par la scolarisation généralisée dans l’entre-deux-guerres. Elle concerne notamment le demi-million de francophones recensés en 1970 (incluant encore quelques Indiens Koasati et Chitimacha) sur le million de « Français de Louisiane », selon l’expression américaine courante Louisiana French.

Source : Wikipedia

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